TEXTES
Article après résultats des élections. (25/03/2014)
La population de SANGATTE-BLERIOT, dans son immense majorité, a renouvelé sa confiance au Maire sortant Guy ALLEMAND.
La seconde liste, conduite par Henrique RAMOS a fait un score honorable malgré son improvisation totale, son absence de projet.
Nous devons être plus attentifs pour mieux répondre à toutes les préoccupations des Sangattois.
Aujourd’hui encore, Mr RAMOS ne parle que d’aller à la chasse aux subventions ! Mais il oublie toujours de nous dire pour quel projet, de quel développement il s’agit, croît il qu’il suffit de demander sans avoir un dossier solide ! Sait il seulement que dans le cadre de subventions, il appartient par exemple à la commune de financer à parts égales avec la région ses projets . Depuis 6 ans, la Mairie et son maire Guy Allemand l’ont fait pour pouvoir développer les projets dont ce mandat verra l’aboutissement.
La « Française » peut se financer mais c’est cette prise en charge au titre de la communauté d’agglomération que nous sollicitons et non une simple aide.
Pendant la campagne, beaucoup de questions de Mr RAMOS, mais aucun dossier clairement exposé.
Dans son dernier tract, il y a confusion entre sa fonction de négociateur et de candidat : certains s’en sont amusés mais ceci est bien plus grave car le secret professionnel quel qu’il soit, est un droit et la violation du secret professionnel est un délit, en vertu de l'article 226-13 du C. pénal : c’est une faute professionnelle.
Le secret professionnel du notaire est général et absolu. Confident nécessaire de ses clients, le notaire est tenu au secret professionnel dans les conditions prévues par le Code pénal ou toutes autres dispositions législatives ou réglementaires.
Ce secret couvre tout ce qui a été porté à la connaissance du notaire dans l’exercice de ses fonctions.
Le notaire doit veiller à ce que tous ses collaborateurs soient instruits de cette obligation qui est aussi la leur et qu’ils la respectent. Le secret professionnel subsiste même lorsque le dépositaire n’exerce plus sa profession et même lorsque l’affaire est portée dans le domaine public (révélation dans la presse…).
Pascal DUBUS